ARTISTE PEINTRE À TRANS-EN-PROVENCE – ŒUVRES CONTEMPORAINES À L’ACRYLIQUE

Mon atelier à Trans-en-Provence, entre Draguignan et Lorgues, est mon sanctuaire.

Un lieu intime où naissent mes œuvres dans le silence, la lumière et l’instinct.

Mon pinceau est le prolongement de mon souffle.
Je laisse les couleurs m’envahir, me traverser, me transformer.

Chaque trait, chaque éclat, chaque silence sur la toile est un fragment de moi.

Un instant suspendu. Un battement d’âme.

Je ne peins pas pour faire joli. Je peins parce que je ne peux pas faire autrement.

La peinture n’est pas un choix, c’est une nécessité intérieure, une quête de lumière.

 Nine

"Derrière le silence, une force rouge se lève".

Peinture acrylique abstraite et élégante, femme ancrée, énergie intérieure.

Cette œuvre incarne la puissance d’une femme à la fois ancrée et abstraite, dessinée de face avec un visage blanc, presque immaculé, qui invite à dépasser l’apparence. Sa robe noire et blanche, fluide comme l’eau, se mêle au bas rouge et noir, symbole d’une énergie intense et d’une force intérieure qui s’élève silencieusement.

La posture asymétrique, la coiffure maîtrisée et l’élégance de la silhouette révèlent une femme forte, porteuse d’une émotion profonde, une présence qui transcende le visible.

Cette peinture contemporaine exprime la puissance du silence un cri intérieur que l’on ressent plutôt que l’on voit.

Un tableau qui invite à ressentir l’intensité émotionnelle, la force féminine et la beauté abstraite au-delà des formes.

Nine.

"Une femme discrète, mais déterminée à émerger."

Sur un fond terreux, une femme sans visage se tient droite, ancrée, silencieuse.

Elle porte un grand chapeau, une robe asymétrique, longue, en forme de boule comme une enveloppe protectrice, comme une présence qui cherche à s’affirmer.

La silhouette féminine exprime à la fois fragilité et affirmation. Cette peinture symbolise une femme en chemin, ancrée, qui s’élève avec discrétion mais détermination.

Elle avance doucement, elle se rend compte. Elle n’affronte pas encore le monde, mais elle est là, prête à naître à elle-même.

Nine

"Et elle s’éloigne lentement, comme on quitte un rêve."

Peinture acrylique noir et blanc sur fond terre, vernis mat.

Dans cette œuvre empreinte de douceur et de puissance, une femme faite d’eau tourne le dos à ce qui fut. Elle s’éloigne sans fracas, mais avec la force tranquille de celles qui ont compris que partir, parfois, est une forme de renaissance.

Son chapeau sobre, sa robe noire et blanche, et les tons beiges et terreux du fond évoquent à la fois le deuil d’un passé et l’ancrage retrouvé. Cette femme ferme une porte, sans haine, mais avec une détermination née d’une épreuve profonde celle d’une relation destructrice, marquée par la manipulation et la perte de soi.

Elle tourne le dos non seulement à une personne, mais à tout un monde, à toutes ces attentes, ces regards, ces silences.

Parce qu’il faut parfois fermer des portes pour s’en ouvrir de nouvelles, plus vraies, plus lumineuses.

C’est une peinture de départ, mais aussi de guérison. Elle s’éloigne, oui mais vers elle-même.

Nine.

Peinture abstraite en noir et blanc, silhouette féminine au regard détourné.

Dans cette œuvre abstraite en noir et blanc, une silhouette féminine émerge de l’obscurité. Son visage est tourné sur le côté, son regard fuyant, comme absorbé par une pensée trop lourde ou un souvenir trop vif.

Ses cheveux en bataille, volontairement mal coiffés, traduisent l’agitation intérieure, l’instabilité émotionnelle, ou peut-être simplement la fatigue d’exister.

Le fond noir engloutit la scène, tandis que la forme blanche de la femme, presque spectrale, semble flotter dans l’espace. Sa robe hachurée, esquissée de traits bruts, évoque un corps en tension, une présence à la fois forte et évanescente.

Une peinture contemporaine et minimaliste, où le non-dit prend toute sa place.

Un tableau introspectif sur l’absence, l’effacement, ou peut-être la résistance discrète de celles qu’on ne voit pas vraiment.

Nine.

Elle s’élève comme un souffle de lumière

Peinture acrylique contemporaine, danseuse étoile en mouvement tons bleu, or, rouge.

Dans cette œuvre lumineuse, une danseuse étoile s’élève, portée par un élan invisible, presque céleste. Ses bras tendus vers le ciel traduisent la grâce, la liberté et l’aspiration à quelque chose de plus grand. Le jupon blanc, léger comme une brume, accompagne son envol, tandis que le fond bleu aux reflets dorés, orangés et rouges évoque la mer, le feu intérieur, la passion du geste.

Cette peinture de danse contemporaine célèbre le moment suspendu entre terre et ciel, entre force et fragilité.

Elle incarne l’élévation du corps et de l’âme, l’instant où l’on quitte le sol pour rejoindre la lumière.

Un tableau acrylique sur fond bleu, vibrant de couleurs chaudes, qui mêle mouvement, émotion et puissance féminine. Une œuvre d’art inspirée du ballet et de la liberté intérieure.

Nine

"Un rituel de feu, un adieu instinctif, une oeuvre pleine d'âmes"

Et le feu a tout emporté, sauf l’essentiel

Un souffle brut, un feu intérieur, une scène abstraite où les tons rouges et bleus vibrent comme des fragments d’un rituel silencieux.

Dans cette toile riche en détails, l’œil découvre peu à peu des silhouettes, des visages, des formes humaines qui semblent se rassembler autour d’une énergie centrale.

Un, deux, trois, six… figures se laissent deviner, mais rien n’est figé : chacun peut y lire sa propre histoire.

Cette œuvre abstraite invite à l’interprétation libre. Elle ne s’explique pas, elle se ressent.

Elle parle d’essentiel, d’invisible, de ce qui reste, de ce qui relie.

Nine.

"Et la cage resta vide."

Une femme de dos, peinte en noir, fait face à une cage.

Les tons ocre et gris enveloppent la scène d’une tension douce, presque silencieuse. Rien ne crie, mais tout est dit : la cage est vide, et elle ne regarde pas en arrière.

Ce tableau parle de libération, de cette décision intime que l’on prend, parfois après de longues années, de sortir d’un enfermement intérieur. Il ne s’agit pas d’une fuite, mais d’un soulagement profond, d’un retour à soi.

La silhouette incarne cette énergie discrète mais puissante de celle qui choisit, qui se redresse, qui avance.

Nine.

"Mémoire. En suspension."

Une danseuse noire stylisée émerge d’un fond aux tons kaki et jaunâtres, entre matière brute et douceur d’empreinte. Autour d’elle, des fragments de vieux journaux collés évoquent les strates du vécu, les souvenirs, les récits que le temps décolore mais ne fait jamais disparaître.

L’équilibre de cette silhouette féminine s’ancre dans le contraste : légèreté du mouvement, poids de la matière.

Une forme d’élégance industrielle, un hommage silencieux à ce qui nous construit.

Cette peinture invite à la contemplation — là où les mots s’effacent, l’émotion reste suspendue.

Nine.

"Douceur."

L’élégance d’un geste qui ne force rien.

Sur un fond sable clair, une petite danseuse stylisée s’élève, les bras levés, comme portée par une brise légère.

Son chignon parfaitement coiffé, sa robe noire et blanche, et la fluidité de son mouvement évoquent une féminité calme, gracieuse et subtile.

Cette peinture, douce dans ses formes comme dans son énergie, rend hommage à un caractère paisible et lumineux. Elle incarne ce que l’on est parfois sans jamais avoir à le revendiquer : une présence juste, délicate, silencieusement forte.

Nine.